e.Revue de la CNRA

Confédération Nationale des Radios Associatives - France 

Publication électronique à destination des radios associatives non commerciales autorisées à émettre en FM en France, DOM et TOM, envoyée pour information à leurs partenaires et sympathisants.

Les précédents numéros de l'e.Revue (jusqu'au numéro 149) peuvent être téléchargés sur le site : 

http://www.cnra.asso.fr/
- onglet "archives"



Sont membres de la CNRA les fédérations de radios associatives suivantes :

CRAL - Coordination des Radios locales Associatives de Lorraine
D4C - Fédération Union D4C
FAR - Fédération des Radios Associatives de la Réunion
FARA - Fédération Alsacienne des Radios Associatives
FRALA - Fédération des Radios Associatives Limousin Auvergne
FRAMA - Fédération des Radios Associatives Maine - Anjou
FRANC-CP - Fédération des Radios Associatives Non Commerciales Poitou Charentes http://www.franc-cp.org/
FRANC-LR - Fédération des Radios Associatives Non Commerciales Languedoc Roussillon - http://franclr.free.fr/
FRANC-MP - Fédération des Radios Associatives Non Commerciales Midi Pyrénées
FRANC-RA - Fédération des Radios Associatives Non Commerciales Rhône-Alpes
FRANF - Fédération des Radios Associatives du Nord de la France - http://www.franf.fr.fm/
GRANC’OISE - Groupement des Radios Associatives Non Commerciales de l’Oise
ARJ - Association des Radios Juives
FFRC - Fédération Française des Radios Chrétiennes - http://www.ffrc.asso.fr/
FRTC - Fédération des Radios et Télévisions Chrétiennes
RCF - Radios Chrétiennes en France - http://www.radiorcf.com/
et le COLLÈGE DES RADIOS NON FÉDÉRÉES
totalisant à ce jour 213 adhésions de radios confirmées en 2006
 
 

  N° 152 - vendredi 22 juin 2007

  

 RADIO  | Touzazimuts | Calendrier


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Archives de la e.Revue

 


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RADIO  

Communiqué de la Fédération des Radios Associatives Non Commerciales de Midi- Pyrénées (Franc-MP)

L’ensemble des autorisations d’émettre attribuées aux radios de la bande Fm en 1993, lors du premier appel à candidature lancé par le Csa en Midi-Pyrénées, arrive à terme après quinze années d’exploitation.

Cette année 2007, les opérateurs historiques de la Fm vont donc devoir candidater à nouveau pour obtenir le renouvellement de leur autorisation avec l’espoir que, les techniques ayant évolué, de nouvelles fréquences soient dégagées et de nouveaux projets rendus ainsi possibles.

Dans ce cadre et à ce jour, la Franc-Midi-Pyrénées a eu connaissance, comme tous les opérateurs, du projet élaboré, pour notre région, par le Csa., projet qui soulève, en ce qui la  concerne interrogations voire inquiétudes.

Si, sur les principales agglomérations de Midi-Pyrénées de nouvelles fréquences ont été dégagées (Montauban, Albi, Auch, Toulouse….), peu ou bien souvent aucune fréquence n’a été inscrite sur des zones à moindre ou faible densité de population. Ainsi, ni les zones de montagne, ni les zones rurales, ni également la ville de Tarbes, n’ont bénéficié de création de fréquence. Pourtant, des radios associatives ont souhaité, être présentes sur ces zones et y remplir leur mission de communication sociale de proximité, que ce soit au Larzac, Bagnères de Bigorre ou Gaillac, à Carmaux, Cauterets ou Tarbes.

S’il est logique de couvrir des zones à chalandise forte, dont l’intérêt est clairement évident pour les radios commerciales, le nouveau plan ne peut laisser de côté les secteurs à faible potentiel d’auditeurs qui ont, plus qu’ailleurs, besoin d’outils de communication pour leur développement.

La Franc-Midi-Pyrénées exprime avec force le vœu qu’il soit remédié  à cette situation   et que ces demandes soient prises en compte dans le plan définitif,.

Par ailleurs, sur Toulouse, La Franc-MP s’inquiète, du peu de fréquences nouvelles disponibles, ce qui hypothèque le sort qui sera fait aux radios qui,  aujourd’hui, doivent partager leur fréquence ( Fmr avec Radio Radio, Booster avec Radio Plus).

 Elle demande que, en Midi-Pyrénées, soit, enfin, mise en application la volonté maintes fois exprimée, par le Csa lui-même, du principe une radio = une fréquence.


Du 9 au 11 novembre 2007 à Noeux-les-Mines (62) : Rencontres interrégionales des radios associatives

Des Rencontres inter-régionales des radios associatives du Nord Pas-de-Calais, de la Picardie et de Champagne-Ardennes sont organisées par la FRANF.
Ce projet ambitieux propose de regrouper en un même lieu, le Centre d'Accueil et d'Hébergement de Noeux-les-Mines - Loisirord, un nombre important d'actions et d'activités :
-  stages de formations
-  écoutes et présentations de productions
- débats sur les thèmes des radios associatives (échanges de programmes, MIC-MIG, appropriation des nouvelles technologies, passage à la radio numérique, législation...)
-  rencontres avec nos partenaires, les forces associatives régionales, les élus, et les auditeurs
-  expositions

Ces rencontres auront lieu du vendredi 9 au dimanche 11 novembre 2007.

Toutes les contributions sont les bienvenues

René Lavergne
Président de la FRANF
www.franf.fr


Lot-et-Garonne

Regroupées au sein d’une fédération départementale, les 4 radios associatives de Lot-et-Garonne - Radio Bulle, Cfm, Espoir fm et Radio 4 - ont de longues habitudes de coopération.

Elles produisent et diffusent une émission pour le compte du Conseil Général, ainsi qu’une émission commune intitulée « Confluences ». Grâce à la mise en place de la banque d’échange de programmes « Aliénor » de la FARL, elles échangent quotidiennement leurs reportages et entrevues pour alimenter leurs journaux et magazines d’information.

En créant radiolotetgaronne.fr, elles ont franchi un pas vers un renforcement de leur coopération. En effet, elles réunissent sous cette marque, leurs moyens de production et de diffusion afin de proposer à leurs auditeurs et à leurs partenaires, une large et entière couverture du département
.


Les partis politiques se préoccupent des enjeux du passage au numérique...

Communiqué de presse des Verts du 19 juin 2007 : 600 radios associatives en danger de mort    
Le Ministre de la  Culture et de la Communication vient enfin de  publier au Journal officiel son avis sur les règles de rédaction des  demandes permettant l'attribution des subventions du FSER (Fonds de Soutien à   l'Expression Radiophonique), au profit des radios associatives. C'est avec près de deux mois de retard que la Commission d'instruction des dossiers va tenter de commencer à travailler.   
   
Pourtant, dès le 8 mai 2007, dans un avis publié au Journal  Officiel, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, à  propos du développement  de la radio numérique, avait rappelé aux Pouvoirs publics  l'impérieuse nécessité de soutenir les radios associatives.

Incontestablement, les stations non commerciales sont effectivement des garantes du pluralisme médiatique. En outre, la loi du 1er août 2000  leur attribue une mission de communication sociale de proximité que beaucoup  d'entre elles accomplissent avec un grand sens de l'utilité publique.  Pourtant, plus de 40% de ces radios connaissent d  lourdes difficultés financières. Leur vie est menacée.  Quelques dizaines pourraient ne pas survivre à la période  estivale.  
 
Les Verts demandent donc à la ministre de la Culture ainsi qu'au Parlement, d'augmenter de façon substantielle le volume des sommes allouées au subventionnement des radios associatives, par le déplafonnement de la taxe fiscale sur les recettes publicitaires des médias.


Publication au J.O. du 21/06/07 : Deux arrêtés de barème relatifs à la subvention d'exploitation et à la subvention sélective du FSER.

Ces textes sont consultable aux adresses suivantes :

Arrêté du 13 juin 2007 fixant le barème de la subvention d'exploitation prévu à l'article 5 du décret n° 2006-1067 du 25 août 2006 pris pour l'application de l'article 80 de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication

http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=MCCT0754511A

Arrêté du 13 juin 2007  fixant le barème de la subvention sélective à l'action radiophonique prévu à l'article 6 du décret n° 2006-1067 du 25 août 2006 pris pour l'application de l'article 80 de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication

http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=MCCT0754513A


Assemblée Générale du GIP EPRA
Vendredi 29 juin 2007 de 15 h 30 à 18 h 00
Salle du Conseil d’Administration de l’ACSÉ
Tour Gamma 12e étage
193 – 197 rue de Bercy 75012 Paris
Métro Gare de Lyon

L’ordre du jour a été expédié jeudi 14 juin 2007, les documents préparatoires à la réunion le vendredi 15 juin 2007.


Fréquence Paris Plurielle est née en 1992. Elle fête cette année ses 15 ans d'existence.

Depuis sa création, FPP donne la parole à ceux qui ne l'ont pas ailleurs : elle est une radio de lutte engagée dans les mouvements sociaux, politiques et culturels. La grille des programmes de FPP accueille une centaines d'émissions assurée par 250 animateurs et techniciens bénévoles : émissions politiques et sociales (logement, chômage, prison, santé, féminisme, écologie, handicap, solidarité internationale avec la Tchétchénie, le Chiapas, la Palestine...), émissions des communautés de l'immigration de la région parisienne (Maghreb, Afrique, Turquie, Kurdistan, Amérique du sud, Roms, Caraïbes, Madagascar...), émissions culturelles (cinéma, théâtre...),  et émissions musicales (hiphop, reggae, électro, jazz, rock indépendant...).

Pour maintenir son indépendance et son engagement contre la marchandisation, Fréquence Paris Plurielle ne passe pas de publicité.

Fréquence Paris Plurielle est membre de la Maison des Médias Libres (association AG45) rue d'Aubervilliers à Stalingrad, dont le relogement est toujours incertain suite au rachat du bâtiment par la Mairie de Paris.

Comme beaucoup d'acteurs des médias libres et alternatifs, FPP est de plus aujourd'hui menacé par l'incertitude qui pèse sur les subventions, et sur des nouvelles normes de matériels imposées.

Le festival : "FPP : 15 ans de Radio Libre !” Jeudi 5 Juillet / Vendredi 6 Juillet / Samedi 7 Juillet 2007

Salle de concert “Ligne 13” - 12, place de la Résistance et de la Déportation, à Saint-Denis (93) - Métro 13 Saint-Denis Porte de Paris



Décisions CSA


18 juin 2007

Radio Tilt (Loiret) : retrait de l'autorisation

12 radios temporaires

4 radios temporaires

Radio Tonic FM (Guadeloupe) : clôture de la procédure de sanction

CTR de Toulouse : Rire et Chansons pourra être reconduite

Autoroute A 13 et A 14 : la radio pourra être autorisée à nouveau


15 juin 2007

Radio Campus (Paris) mise en demeure

CTR de Paris : 3 autorisations reconduites

Radio Rencontre (Dunkerque) modifie son programme


13 juin 2007

Radio numérique : 8 expérimentations autorisées

11 juin 2007

Radio Calypso, NRJ Guadeloupe et RCI Guadeloupe : autorisations reconduites

17 radios temporaires

7 radios temporaires


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TOUZAZIMUTS

La DIIESES vient une nouvelle fois de déménager. Bureaux désormais installés :

Tour Mirabeau 39/43 Quai André Citroën Paris 15ème (métro Javel)… avec une très belle vue sur la Seine.

Adresse postale : 14 avenue Duquesne 75 350 PARIS 07 SP

Mel : marie-christine.vergiat@sante.gouv.fr - Téléphone 01 40 56 62 08 - Fax 01 40 56 62 30


Source : AM

Libéralités : enfin le décret d'application

 L'ordonnance n° 2005-856 du 28 juillet 2005 simplifiait le régime des libéralités consenties aux associations, fondations et congrégations. Elle instituait une procédure de libre acceptation des libéralités en lieu et place de la tutelle administrative (les associations devaient alors obtenir préalablement une autorisation de la préfecture avant de disposer de ce type de don). Cette ordonnance devait entrer en application dès le 1er janvier 2006, ce que l’absence de décret d’application n’a pas permis. C’est maintenant chose faite avec le décret n° 2007-807 du 11 mai dernier : les associations pourront accepter librement legs et libéralités entre vifs, l’autorité administrative gardant un droit d’opposition. Le décret pose toutefois quelques exceptions : les établissements de santé, les établissements sociaux et médico-sociaux, les associations ou fondations à caractère sectaire. Le texte apporte des précisions sur la manière dont les libéralités doivent être acceptées et déclarées dans les deux cas.


Débat juridique sur les délégations de service public suite à la jurisprudence en contentieux du Conseil d'Etat relative au Festival lyrique d'Aix-en-Provence du 6 avril 2007 : pas de cession partielle.

L'arrêt du Conseil d'Etat (extraits)

Considérant qu'après avoir relevé que l'association pour le festival international d'art lyrique et l'académie européenne de musique d'Aix-en-Provence s'était vu confier une mission de service public, la cour, pour annuler les délibérations litigieuses, a jugé qu'une association ne pouvait exercer une telle mission et bénéficier à ce titre d'une subvention que si elle était liée à une personne publique par un contrat de délégation de service public conclu soit en application des dispositions des articles 38 et suivants de la loi du 29 janvier 1993 soit en application des articles L. 1411-1 et suivants du code général des collectivités territoriales ;

Considérant que, lorsque des collectivités publiques sont responsables d'un service public, elles peuvent, dès lors que la nature de ce service n'y fait pas par elle-même obstacle, décider de confier sa gestion à un tiers ; qu'à cette fin, sauf si un texte en dispose autrement, elles doivent en principe conclure avec un opérateur, quel que soit son statut juridique et alors même qu'elles l'auraient créé ou auraient contribué à sa création ou encore qu'elles en seraient membres, associés ou actionnaires, un contrat de délégation de service public ou, si la rémunération de leur cocontractant n'est pas substantiellement liée aux résultats de l'exploitation du service, un marché public de service ; qu'elles peuvent toutefois ne pas passer un tel contrat lorsque, eu égard à la nature de l'activité en cause et aux conditions particulières dans lesquelles il l'exerce, le tiers auquel elles s'adressent ne saurait être regardé comme un opérateur sur un marché concurrentiel ;

Considérant que, lorsqu'elles sont responsables d'un service public, des collectivités publiques peuvent aussi décider d'en assurer directement la gestion ; qu'elles peuvent, à cette fin, le gérer en simple régie, ou encore, s'il s'agit de collectivités territoriales, dans le cadre d'une régie à laquelle elles ont conféré une autonomie financière et, le cas échéant, une personnalité juridique propre ; qu'elles doivent aussi être regardées comme gérant directement le service public si elles créent à cette fin un organisme dont l'objet statutaire exclusif est, sous réserve d'une diversification purement accessoire, de gérer ce service et si elles exercent sur cet organisme un contrôle comparable à celui qu'elles exercent sur leurs propres services leur donnant notamment les moyens de s'assurer du strict respect de son objet statutaire, cet organisme devant en effet être regardé, alors, comme n'étant pas un opérateur auquel les collectivités publiques ne pourraient faire appel qu'en concluant un contrat de délégation de service public ou un marché public de service ; qu'un tel organisme peut notamment être mis en place lorsque plusieurs collectivités publiques décident de créer et de gérer ensemble un service public ;

Considérant en outre que, lorsqu'une personne privée exerce, sous sa responsabilité et sans qu'une personne publique en détermine le contenu, une activité dont elle a pris l'initiative, elle ne peut, en tout état de cause, être regardée comme bénéficiant de la part d'une personne publique de la dévolution d'une mission de service public ; que son activité peut cependant se voir reconnaître un caractère de service public, alors même qu'elle n'a fait l'objet d'aucun contrat de délégation de service public procédant à sa dévolution, si une personne publique, en raison de l'intérêt général qui s'y attache et de l'importance qu'elle revêt à ses yeux, exerce un droit de regard sur son organisation et, le cas échéant, lui accorde, dès lors qu'aucune règle ni aucun principe n'y font obstacle, des financements ;

Réponse du Ministre de l'Economie et des Finances :

Dans une réponse publiée au JO le 15/05/2007 page 4531, le ministre de l’Economie et des Finances indique que le droit ne reconnaît pas la cession partielle du contrat de délégation de service public. Celle-ci aurait pour effet de fractionner la mission de service public, de placer l'autorité concédante en présence de deux ou plusieurs autres cocontractants responsables envers elle de leur mission propre, de réduire d'autant le périmètre de la délégation de service public initialement consentie et de définir de nouvelles délégations, ce qui irait à l’encontre de l'article L. 141 1-1 du code général des collectivités territoriales et à détourner les règles de la délégation. Toutefois, le délégataire peut subdéléguer l'exécution d'une partie du contrat dont il est titulaire à un tiers. La subdélégation n'engendre en principe aucune modification des clauses et n'est pas soumise à l'obligation de publicité et de mise en concurrence. Elle doit cependant être autorisée par la collectivité délégante. Le cocontractant qu’a choisi la personne publique reste seul responsable de toutes les obligations stipulées dans le contrat. 


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CALENDRIER

Commission FSER : 21 juin, 28 juin, 12 juillet, 19 juillet

Date commission sur la réévaluation des barèmes SPRE :  5 juillet, 19 juillet

 Assemblée plénière de la CPNEF AV : 25 juillet

CNRA : Conseils d’Administration : samedi 7 juillet à Paris, Samedi 8 septembre

Congrès National 2008 : 12 et 13 octobre 2007 à Paris

Assemblée Générale : Samedi 10 novembre à Paris

EPRA - A.G.  :  29 juin à Paris

 

FRANC-LR - A.G.E.  : Montpellier 30 juin

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Directeur de la publication :

Hubert ALLOUCHE, Président du CNRA.

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