 | Sont
membres de la CNRA les fédérations de radios
associatives suivantes : ARJ
- Association des Radios Juives CRAL - Coordination
des Radios
locales Associatives de Lorraine D4C - Fédération
Union D4C FAR
- Fédération
des Radios Associatives de la Réunion FARA - Fédération
Alsacienne des
Radios Associatives
FRALA - Fédération
des Radios
Associatives Limousin Auvergne FRAMA - Fédération
des Radios
Associatives Maine - Anjou FRANC-MP -
Fédération des Radios
Associatives Non Commerciales Midi Pyrénées FRANC-RA -
Fédération des Radios
Associatives Non Commerciales Rhône-Alpes FRANF - Fédération
des Radios
Associatives du Nord de la France - http://www.franf.fr.fm/ FRTC - Fédération
des Radios et
Télévisions Chrétiennes GRANC’OISE -
Groupement des Radios
Associatives Non Commerciales de l’Oise
et le COLLÈGE DES RADIOS
NON
FÉDÉRÉES totalisant à ce jour 230
adhésions de radios confirmées en 2007
CONGRES NATIONAL DES RADIOS ASSOCIATIVES 13, 14, 15 juin à Montpellier
Renseignements : http://cnracongres2007.free.fr |
N° 165 - lundi 7 avril 2008 |
RADIO
Dernière
minute - Commission Coppé
Lors de la réunion des organisations de radio avec la Direction des Médias de
Matignon, la directrice des médias a demandé à la CNRA de contacter le
président de la commission « publicité sur le service public » pour
l’alerter sur la perte importante que représentait les orientations voulues par
le Président de la république pour l’abondement du Fonds de Soutien.
La CNRA a immédiatement saisi Monsieur Jean-François Coppé par écrit lui
demandant à être reçue afin de trouver une solution sur cette question
cruciale pour nos radios.
La
commission présidée par Monsieur Coppé n’a toujours pas reçu la CNRA.
La CNRA
est extrêmement inquiète par cette attitude préjudiciable à notre secteur. Le
rôle de la commission est d’examiner tous les impacts de la suppression de la
publicité sur les chaînes de télévision du service public, si nous ne sommes
pas rapidement et officiellement entendus par la commission celle-ci aura
failli à sa mission.
RADIO NUMERIQUE TERRESTRE « Appel des
radios associatives »
Les radios
associatives représentent une composante essentielle de la diversité culturelle
et médiatique en France. Elles rendent visible, par leur mission de
communication sociale de proximité, la diversité des régions et des territoires
français. Fortes de leurs quelques 2500 salariés et de leurs dizaines de
milliers de bénévoles, les radios associatives apportent un concours essentiel
au dynamisme social et au développement local. Elles contribuent, pour une part
déterminante au pluralisme, à la diversité culturelle et à la liberté
d’expression En
décembre dernier, le gouvernement a retenu la norme T-DMB pour la diffusion de
la radio numérique en France. Le passage au numérique présente un véritable
risque technologique, car aucune expérimentation ne garantit qu’elle permette
l’accès au numérique des opérateurs actuellement autorisés, ni à fortiori, d’en
accueillir de nouveaux. Or le nombre et la pluralité des opérateurs
radiophoniques seront des facteurs essentiels du succès de la RNT auprès des auditeurs.
Un arrêté, multinorme, retenant la norme DAB+, à côté du T-DMB, aurait permis un plus grand
nombre de programmes par multiplexes et une compatibilité avec les
opérateurs européens ayant choisi le DAB+ . Pour que
l’avènement de la radio numérique n’exclut aucun acteur, les radios
associatives demandent :
- le
lancement d’un appel à candidature par CTR pour que soit respectée la diversité
des médias sur le territoire français et l’équité pour l’accès aux nouvelles
technologies radio.
- La
définition de taille d’allotissements pour la radio numérique, compatible avec
la zone de diffusion de nos radios locales.
(un allotissement = un territoire
de diffusion)
- que soit
réservée, aux programmes associatifs sur chaque multiplex, une part en
pourcentage égale à celle que ces programmes occupent sur la zone concernée en
bande FM. - que la
part de ressource allouée aux radios associatives, publiques et commerciales
soit la même et que la répartition image/son/data puisse se faire ensuite, sur
le quota donné, à discrétion de chaque radio. La radio
numérique entraînera un coût de diffusion supplémentaire ainsi qu’un coût pour
la création et la gestion des données associées complémentaires (vidéos et
datas). Les radios
associatives demandent que le Fonds de Soutien à l’Expression Radiophonique
soit abondé de manière supplémentaire et
conséquente ainsi que le Conseil supérieur de l’audiovisuel le préconise dans
son Avis n° 2007-4 du 17 avril 2007. Ainsi il devra permettre aux radios
associatives d’accéder au numérique en terme d’équipement et de diffusion. Il
devra aussi leur permettre de fonctionner avec le numérique en tenant compte
des budgets supplémentaires générés : nouveaux postes salariés pour la
création des données associées, édition des programmes, frais de diffusion des
composantes associées ou non associées. Pour que
les radios associatives puissent
contribuer au succès de la radio numérique, leurs représentants
demandent à être reçus très rapidement et écoutés par les autorités de
tutelle, comme elles l’avaient annoncé à l’occasion des différents congrès de
nos organisations de radios associatives.Les organisations signataires : CNRA
Férarock
IASTAR SNRL
Réunion avec les organisations représentatives des radios associatives et
la Direction du
Développement des Médias, première étape vers un financement du
numériqueEn réponse aux
nombreuses demandes formulées par la CNRA et à la promesse qui avait été
faite par Madame Franceschini
directrice de la DDM lors de son
congrès de décembre 2007, la
DDM a reçu ce 3 avril les deux associations représentatives des
radios associatives CNRA et SNRL
accompagnées d’IASTAR et de la Ferarock. Cette
première réunion avait pour objectif de lancer un processus de travail
consistant dans un premier temps a évaluer le coup de la migration de nos
radios vers le numérique et dans un deuxièmement temps d'imaginer les mécanismes et
montants des financements publics qui seront nécessaire a nos radios pour user
effectivement de leur droit à émettre sur les bande 3 ou
L. . La DDM était représentée par Madame
Dubarry directrice adjointe, Monsieur Matthieu Couranjou pour le bureau de
coordination des médias du Premier Ministre, MM Kordos et Meslon du CSA pour la
direction radio, Madame Baladi secrétaire générale du FSER. Du côté de
l’administration les questions posées étaient de savoir comment financer par le
FSER ou un autre fonds les équipements et la diffusion du numérique pour les
radios associatives.La Direction des Médias demande
dans un premier temps :- une
analyse des coûts actuels de l’analogique (prix du matériel, de
l’autodiffusion, du passage par un prestataire extérieur (Towercast, TDF), du
coût des systèmes de transmission (faisceaux, liaisons Numéris, ADSL) pour les
émetteurs principaux et les réémetteurs de confort. (Ces données paraissent
nécessaires quoi que difficiles à collecter, pour évaluer le coût
supplémentaire induit par le numérique et il appartiendra aux organisations de
les collecter auprès de leurs adhérents).
- Quel
serait le coût des équipements numériques, les coût liés à la diffusion du
programme et à la diffusion de service de données associées.
- A quelle
échéance comptons nous mettre en œuvre les services de données associées.
Les organisations de leur côté ont
signalé : - que le
chiffrage du coût actuel d’une diffusion en analogique ne pouvait se faire
qu’en établissant les typologies de radios (recours à un prestataire ou non,
liaison studio émetteur, émetteur de confort, puissance des émetteurs) et que
cette typologie peut être établi à partir d’informations que pourrait fournir
le CSA.- que le
chiffrage actuel de diffusion en numérique était impossible parce que les
prestataires (VDL, Towercast, TDF) ne fournissaient aucune information à ce
jour sur le prix de leurs services.La DDM devrait s’engager à par conséquent
exiger ces informations directement de la part des prestataires.
- que dans
ce contexte et pour les appels à candidature déjà lancés, les dossiers de
demandes seraient difficiles à compléter par manque de ces informations dans
les prévisionnels à fournir, et que les chiffres éventuellement communiqués par
les prestataires seraient équilibrés par un dispositif FSER actuellement à
l’étude (objet de la réunion)
- que le
passage au numérique induisait une nouvelle typologie et un nombre d’emplois à
créer, et des formations à destinations des personnels pour cette activité
nouvelle.
- qu’au
titre de la liberté d’usage d’un bien public par les opérateurs associatifs dans
les mêmes conditions que les opérateurs privés, et pour répondre à l’attente du
CSA en matière de projets innovants et créatifs (congrès CNRA) il est clair
que nous devons avoir accès à la diffusion de service de données associées dès notre
diffusion en numérique.
- qu’en
matière de surcoût lié à l’emploi il appartient au le secrétariat du FSER de
fournir un état actuel de l’emploi dans les radios associatives qui permettrait
de dégager les grandes lignes en matière d’embauche et en formation.
Au vu de cette réunion que l’Etat serait prêt à
engager un financement supplémentaire pour les radios associatives, mais qu’à
part le goulot d’étranglement que représentent les manques d’informations sur les
coûts du numérique pour les appels à candidature lancés, les radios et les
organisations devront en urgence collecter les informations permettant de
cerner la demande des tutelles pour faire aboutir nos demandes.
RADIO NUMERIQUE
Le CSA
vient de lancer le premier appel à candidatures pour les radios numériques sur
19 villes (BORDEAUX, LE MANS, ROUEN, CLERMONT-FERRAND, DIJON, LILLE, LYON (et
la région VILLEFRANCHE/SAÔNE ET VIENNE), MARSEILLE (AIX-EN-PROVENCE ET, AUBAGNE),
NICE, METZ, NANCY, STRASBOURG, PARIS, TOURS, ANGERS, BREST, NANTES, RENNES,
TOULOUSE.
La date de
dépôt des dossiers est fixé 16 Juin 208. Une vague
d’une quinzaine d’autres villes suivront en 2008. http://www.csa.fr/actualite/decisions/decisions_detail.php?id=126173 La radio
numérique est un véritable challenge pour l’ensemble du secteur radio et en
particulier pour les radios de terrain comme les radios associatives. C’est un
passage risqué avec beaucoup de questions en suspens. Il est
indispensable que les radios associatives répondent à l’appel aux candidatures
et se positionnent sur cette nouvelle bande de fréquence afin que le CSA et le
gouvernement tiennent compte des demandes de la CNRA.
Etes vous concerné par ce
premier appel ?Pour
savoir si vous êtes concernés par cet appel aux candidatures, allez sur la
carte des allotissements (http://www.csa.fr/actualite/decisions/radio_num_phase_1.php
) et cliquez sur votre CTR.
Est-ce que votre zone de diffusion
est dans un allotissement ?Définition :
Un allotissement est une zone géographique délimitée par un contour fermé,
associée à un canal (fréquence) assurant une réception à l’intérieur des
bâtiments. - zone verte représente la zone de couverture
optimale de la radio numérique - Contour rouge représente la zone limite de la
réception de la radio numérique hors bâtiment.
Une nouvelle approche de la
diffusion radioLa
diffusion numérique nous oblige à nous adapter en prenant en compte les
nouvelles données incontournables à cause de la technologie. Mais des
choix peuvent être faits pour que la présence des radios associatives soit
effective sur ces nouvelles bandes de fréquence. La CNRA se positionnera sur la défense du
secteur auprès du CSA et du gouvernement.
Communiqué de la Fédération des Radios
Non Commerciales de Midi-Pyrénées (Franc Mp)
Le CSA vient de faire connaître la présélection qui attribue
les fréquences de la bande FM disponibles en Midi-Pyrénées.La Franc-MP note avec satisfaction la prise en compte de projets
nouveaux, Radio Larzac (à Millau), Radio Ter ( à Bagnères-de-Bigorre) où de
demandes d’extension d’opérateurs existants : Transparence (Ax-les-Thermes),
Radio Coteaux (Mirande) Barousse Fm (Lannemezan, Riscle, Argelès-Gazost),
Campus ( Tarbes) , R d’autan (Gaillac).
Elle
regrette, par contre, que la disparition de la radio associative Fréquence
Soleil n’ait permis ni le développement de projets associatifs, à Mazamet et à
Montauban, où ces fréquences ont été attribuées à des radios commerciales, ni la
fin du partage de fréquence imposé depuis 15 ans à 4 radios associatives sur
Toulouse.
Elle
regrette, aussi, qu’aient été laissés de côté des projets qui, de temporaires,
ayant vocation à émettre définitivement, à Figeac et à Rodez où cela concernait,
de plus, une radio lycéenne..
La Franc-MP est, par
ailleurs, vivement troublée par des décisions qui portent atteinte à la zone de
couverture actuelle de radios exemplaires, Antenne d’Oc (à Puy-L’Evêque) et Cfm
(à Réalville), dont le développement original a été, depuis leur création, au
service de la communication sociale de proximité. La Franc-MP veut croire que
ces décisions ont pour origine une mauvaise appréciation technique et non une
volonté de sanction des activités de ces radios et de leurs responsables, elle
condamne d’autant plus ces choix préjudiciables à ces radios associatives
qu’ils se font au bénéfice de radios commerciales.
Elle espère, et
elle mettra tout en œuvre pour cela, que
le CSA apportera les correctifs permettant de remédier à ces différentes
situations.
Présélections en Région Centre et Poitou
Le CSA publie ce 4 avril la liste des radios présélectionnées en région Centre et Poitou.http://www.csa.fr/upload/communique/Poitiers-Liste_des_candidats_preselectionnes.pdfPour
les deux départements cocnernés par la FRANC-CP, et selon la
déclaration du CSA affirmant que :"...Le Conseil a autorisé la
quasi-totalité des radios existantes, privilégiant ainsi la continuité.
La place des radios associatives est renforcée...". La
Franc-CP constate avec satisfaction que toutes les radios de son
secteur antérieurement autorisées ont été présélectionnées et qu'une
nouvelle radio associative est aussi présélectionnée à Montmorillon.
|
Retour
en haut
TOUZAZIMUTS
Formation des bénévoles associatifsA une question n° 14476 d'un député, la ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et
de la Vie
associative répond le 18 mars 2008 en rappelant dans le détail les mesures et
les budgets consacrés par l'Etat à la formation des bénévoles.Elle précise que le processus de déconcentration de la
gestion et des crédits du CDVA sera mené à bien durant la mandature en lien
étroit avec les services des régions concernées et les représentants des
associations localement les plus représentatives. Cette politique permettra de
mutualiser des fonds consacrés à la formation des bénévoles par l'État et les
collectivités territoriales et de dynamiser l'offre de formation au plan local.
En outre, la ministre précise en réponse à une question n° 7563 qu'une
réflexion est engagée sur l'amélioration de l'articulation entre l'engagement
associatif et l'activité salariée. Une mission de réflexion sur le service
civique va prochainement être désignée. Le moment venu, la représentation
nationale sera amenée à se prononcer sur cet important sujet. Enfin, en ce qui
concerne la conciliation entre le volontariat associatif et l'activité
professionnelle, les dispositions de l'article 3 de la loi n° 2006-586 relative
au volontariat associatif et à l'engagement éducatif interdisent le cumul de
l'indemnité avec une quelconque activité rémunérée, notamment salariée, afin
.d'éviter que des volontaires ne remplacent des salariés dans les associations.
Les articles 4 et 8 de la loi précitée facilitent la transition entre un emploi
salarié et une mission de volontariat dans les deux sens. L'article 5 précise
que toutes les compétences acquises sont prises en compte dans le cadre de la
validation des acquis de l'expérience pour l'obtention d'un diplôme, d'un titre
à finalité professionnelle ou d'un certificat de qualification.
COFAC : Que serait la vie sans
les associations culturelles ?
« J’ai le
regret de vous informer que le soutien à des manifestations musicales n’est
plus une priorité de ma direction, qui, en application des orientations
déterminées par le Ministère de la
Culture et de la Communication, concentre son intervention en
faveur des réseaux nationaux, constitués des scènes nationales et
conventionnées. »
Cette lettre type adressée par les DRAC à de nombreuses associations dans toute
la France
sonne le glas du soutien –souvent symbolique- de l’Etat aux initiatives des
citoyens pour promouvoir la culture de proximité.
Après un moment de surprise et parfois
d’abattement, les associations culturelles soutenues par les fédérations n’ont
pas tardé à réagir, en témoignent de nombreuses manifestations devant les DRAC,
les préfectures ou encore Place du Palais Royal à Paris le 29 février.
L’attachement des acteurs associatifs à l’Etat peut
paraître paradoxal quand on sait qu’ils sont déjà les oubliés de la politique
culturelle d’Etat et que 60% de leurs ressources sont privées (ressources
propres et cotisations) et 27% d’origine communale.
C’est que l’attente n’est pas seulement budgétaire.
Les citoyens et les associations attendent de l’Etat, qu’il assume des
responsabilités particulières, qui ne peuvent être relayées par les
collectivités territoriales : péréquation nationale, rééquilibrage, protection,
impulsion… Ou encore, le respect de ses engagements internationaux comme la Charte sur la Diversité Culturelle
votée en 2001 à l’unanimité des parlementaires qui prévoit que « toute personne
doit pouvoir participer à la vie culturelle de son choix et exercer ses propres
pratiques culturelles ».
Considérer le tissu associatif comme une variable
d’ajustement et comme la première victime des arbitrages budgétaires, c’est
nier la réalité de la vie culturelle en France qui repose au moins autant sur
les grandes institutions (certes nécessaires), que sur un tissu qui s’étend sur
l’ensemble du territoire, et que composent associations de bénévoles,
professionnels, petites et moyennes structures. C’est nier également le poids
considérable des associations dans la culture vivante du pays, dans
l’éducation, l’emploi et le rayonnement sur la vie sociale et économique des
territoires. Face au désengagement de l’Etat, la société civile
se réveille. Dépassant les corporatismes, coordinations et fédérations
associatives ont pris l’initiative de la mobilisation affinant arguments et
contre-propositions. La Cofac,
par exemple, s’apprête à rassembler ses troupes autour d’un argumentaire à
vocation de riposte, lequel appelle à la co-construction des politiques
culturelles associant l’ensemble des acteurs de la culture. Elle préfère la RG3P (Révision Générale des
Politiques Publiques avec les Partenaires) à la RGPP actuellement menée sans aucune concertation.
L’Ufisc et les fédérations d’éducation populaire sont également mobilisées.
L’ensemble des acteurs ont décidé de travailler à une mobilisation convergente,
argumentée, coordonnée et complémentaire. L’intérêt général semble de plus en plus reposer
sur les associations, capables de s’organiser et de proposer un paysage
nouveau. Qui a parlé d’échec de la démocratisation ?
Pour en savoir plus : Coordination des Fédérations et Associations de
Culture et de Communication : www.cofac.asso.fr
UFISC, Union Fédérale d’Intervention des Structures
Culturelles http://www.ufisc.org/ Appel des fédérations d’éducation populaire pour
les arts et la culture au quotidien : http://educpop-culture.info
Association OPALE - Relance Plus de
1000 réponses à l'enquête nationale auprès des associations culturelles
Votre
mobilisation est encore nécessaire ! Merci
aux 1092 associations qui ont déjà répondu à notre enquête nationale auprès
des associations culturelles. L'enquête permet d'ores et déjà de recenser
près de 2500 emplois et 600 bénévoles en équivalents temps pleins pour un
budget cumulé supérieur à 200 millions d'euros. Ce nombre important de
réponses nous permet d'envisager dès maintenant des traitements riches et
inédits.
Toutefois, pour obtenir des résultats tout à fait significatifs, il nous
semble indispensable de dépasser les 1500 réponses. Votre mobilisation est
donc toujours nécessaire et la date limite de réponse a été repoussée au
31 mai 2008.
- Vous êtes une association culturelle et vous n'avez pas encore répondu au
questionnaire. Cela ne prend qu'une vingtaine de minutes sur : http://www.formdesk.com/opale/associations/.
- Relayez l'information. Tous les éléments d'explication sont disponibles
sur http://enquete.culture-proximite.org.
Tous les
participants à l'enquête et les nombreuses structures qui l'ont relayée
recevront en priorité les résultats de l'étude.En vous remerciant sincèrement pour votre participation,
nous vous adressons nos cordiales salutations,L'équipe
de l'association OpaleOpale, http://www.culture-proximite.orgContact
: Gaël Bouron • Tél. : 01 45 65 20 00 • Email : gael.bouron@culture-proximite.org.
Première radio libre en T-DMB ?
CRN "Capitale Radio Numérique"
émettrait en ce moment en T-DMB sur 216
MHz (canal L10) depuis un lieu secret de Paris. La censure de l'Internet, ce n'est pas seulement en Chine...
La Suisse
a décidé de bloquer les IP des webradios, interdisant ainsi l'accès de
certains opérateurs de l'Internet sur son territoire :http://www.globalfm.ch/result.html CALENDRIER
- 3 mai Paris-17 juin Montpellier : Conseils d'Administration de
la
CNRA - 10 avril - commission mixte paritaire de la convention collective
des radios privé, travail final sur les nouvelles grilles des salaires
(journalistes et non journalistes)
- 15 avril - date limite d’envoi des dossiers de demande de subvention
pour chaque radio au FSER.
- 17 avril 2008 – FSER, barème et premiers dossiers
Retour
en haut
| ABONNEMENTVous désirez
recevoir l'e.Revue de la CNRA directement à une ou plusieurs autres
adresses : Cliquez ICI
N'oubliez pas de préciser dans le message les
coordonnées de la radio et les adresses électroniques des destinataires. | DESABONNEMENT Pour ne plus recevoir la
e.Revue de la CNRA
In order to no longer receive
this newsletter
Cliquez
ICI / Click HERE |
|
| |